vendredi 16 mai 2003, par MÉRABET Stéphane
Chère presse !
Jadis les occidentaux ont eu leur
Robin Hood ou Robin des Bois qui déshabillait Pierre pour habiller Paul. Nous
les kabyles aussi, nous avions eu notre Hmed UMERRI pour en faire de même.
De nos jours, il y a peu de gens qui pourraient porter ces noms, ils se
comptent sur les doigts d’une main et encore ! En fait, c’est une denrée
rare si je puis m’exprimer ainsi.
Dernièrement une chaîne de télé privée
appartenant à un jeune milliardaire a annoncé la faillite d’un grand groupe à sa
tête cette fois-ci, un milliardaire âgé. Une fois de plus le proverbe de chez
nous concernant le dromadaire qui ne voit que la bosse de son frère est vérifié.
Pourquoi, cette chaîne a-t-elle délibérément mis à la une cette info,
tout en faisant croire le contraire la concernant elle et tout le groupe auquel
elle appartient ? Même une certaine presse dite
« indépendante !! » qui « ahat » (peut-être) a été
privée de la manne Pub-Rebrab, a repris la nouvelle et n’a pas lésiné sur les
moyens pour casser duÂ?.Kabyle.
De nos jours, qui faut-il condamner,
celui qui s’est envolé avec toutes les économies des retraités et des pauvres
salariés tel un « Senduq t-tadamun bis » donc qui a enlevé à
« Muhend » pour donner à « Pierre » (l’exemple du lancement
de la chaîne, en grandes pompes) ou bien celui qui enlève aux généraux pour
donner à Muhend ?
Je suis kabyle et fier de l’être.
Je
serais milliardaire, non seulement, chère presse, je louerais des trains pour
mes frères kabyles comme lors d’un certain 14 juin que vous avez reproché à
monsieur REBRAB mais avec, en prime, un pique-nique.
REBRAB que je ne
connais qu’à travers ce qu’il a fait de beau et de bien à la Kabylie en y
installant ses usines et faire travailler des kabyles, mérite bien le surnom de
Rebrab UMERRI.
Mestafa MOUSSI
Chroniqueur
Paris
Pour ne répondre qu’aux questions que vous avez posé, je vous apporte ceci :
Son village : Aït-Djemaa (At-Jimâa)
Commune : Aït-Bouaddou (At-Buwaddu)
Daïra : Ouadhias ( Iwadhiyen)
Il fut assassiné au village Lazounène (Iâzunen) dans un guet-apen tendu par l’administration coloniale dans la maison de son meilleur ami et compagnon d’arme Ouacel Ali et avec la complicité de celui-ci un certain 17 fervrier 1947. Ce n’est pas Ouacel Ali qui lui a tiré dessus, il était assis avec eux (Umerri était en compagnie d’un autre "rebelle" Hadjali d’Ighil Imulla en l’occurence ). Ils étaient en train de diner (un couscous) lorsque des soldats français planqués dans l’écurie lui ont tiré dessus. Depuis ce jour Ouacel Ali, craignant la vengeance quitta la kabylie précipatament vers la France. On ne l’a plus revu...
*Une seule oeuvre uniquement lui a été consacrée par Tahar Oussedik. Travail important mais insuffisant.
HALIM de Kabylie
Pour plus amples informations, je vous laisse mon e.mail : numidia2951@hotmail.com
Arrêter de dire n’importe quoi ! H’med oumeri n’est rien d’autre qu’un brigand des grands chemins, c’est un deserteur de l’armée française, parcequ’il ne supportait pas la descipline et les ordres comme tous les kabyles d’ailleurs. C’est vrai qu’il a été trahi et tué par son ami Ezzounen dont le nom est :Ouacel je crois. Mais il ne faut pas faire l’amalgame, h’med n’est rien d’autre qu’un brigand et n’a jamais donné quoi que ca soit aux pauvres, au contraire il les volait, oui il volait ses freres kabyles quand ils vendaient une chevre ou un mouton, un résultat d’une année de travail, lui soit il prenait une partie ou la totalité, pour se payer de la bonne nouriture et du bon vin avec ses compagnons.Il n’etait pas seul, ils étaient toute une équipe de mercenaires sans aucun objectif precis. Sachez, monssieur que ces derniers sont approchés par Krim et ses compagnons pour les integrer à la révolution naissante dans les maquis de la kabylie, bien avant le 1er novembre,et bien cher ami, ils ont refusé !!!! en disant qu’ils n’ont rien a voir avec la politique ni la révolution. Apparement les gens des villages des ait Bouadou, les ont écoutés et sont restés fidels à la France, ou les meilleurs d’entre eux a Messali, ils sont tous des harkis pendant la révolution pour ainsi dire. Sur leur monument aux morts s’ils en ont un il n’y aura aucun nom !! S’ils veulent faire de mohand oumari un robin hood, il faudaraient qu’ils attendent quelques siecles pour faire avaler cette légende aux Kabyles. Je suis de sa région et ses histoires sont encore contés chez nous. Ecrivons l’histoire sur des bases saines, voyez ce qui arrive à notre pays et à tous les autres pays qui falsifient leurs histoires.
Un grand bonjour aux gens des ait Bouadou, parmi lesquels j’ai beaucoup d’amis, je leur dis sans rancune et essayer de sortir des martyres lors de la prochaine révolution ??
Que répondre devant ta haine viscérale envers ce hameau (Aït-Bouaddou) qui a tout donné pour la patrie depuis toujours ? Je ne sais pas ce qui sucite en toi cette haine et ce qui en est à l’origine des gens connus dans toute la région pour leur bravoure et leur patriotisme qui frole quelquefois le chauvinisme et ce depuis la nuit des temps, mais il est clair que tu es loin de réagir par un simple souci de réécriture de l’histoire "...sur des bases saines..." comme tu l’as écris. Sinon, comment éxpliquer ton ignorance flagrante d’une réalité connu de tout le monde ? Encore, s’il ne s’agit pas d’une volonté de souiller la réputation des At-Buwaddu, chose qui est hors de ta portée !
Cela dit, par l’humilité et la rigueur scientifique qu’éxige ce débat, je tiens à apporter à ta connaissance et à celle des lecteurs de ce forum certaines vérités historiques VERIFIABLES au demeurant et dont les supports didactiques (documents, livres et autres...) existent à mon niveau et que je met volontiers à la disposition de toute personne intéressée.
La France a entamé la conquête de l’Algérie en 1830. Au fur et mesure de la conquête de terres nouvelles, des révoltes sporadiques et plus ou moins structurées se dressèrent devant envahisseurs. L’Algérie était déjà sous domination Ottomane (Turque). Celle-ci ayant tenté de faire ralier le peuple a sa cause, céda rapidement et s’effaça presque, emportant des richesses consodérables dans leur évacuation des lieu au profit des nouveaux arrivants (français).
Le peuple tenta de résister ici et là. La supériorité des nouveaux colonisateurs en armes et en cruauté, les algériens étant déjà très éprouvés et très affaiblis par le rêgne ottomane, a eu raison de toutes ces poches de résistences auxquelles se heurtait leur progression. C’est ainsi qu’en 1850, toute l’Algérie y compris la kabylie qui a été le dernier territoire à avoir été conquis tant la résistence y a était farouche, fut soumise dans sa totalité à la nouvelle puissance coloniale...sauf, éxception faite à une confédération (La kabylie était organisée en confédérations qui, chacune d’elle regroupait en son sein un ensemble de aârches unit par un pacte d’amitié et de bon voisinage). Dans le Revue Africaine qui paraissait à l’époque (au moment des faits) Le générale Robin qui menait l’éxpédition de la conquête du "pays kabyle" écrivit à peu près ceci : " ...toute le pays kabyle a finit par accepter la protection de la France en 1850. Les Aït-Bouaddou nous ont opposé une résistence d’une rare violence et continuèrent à être hors -la-loi durant sept ans pour rentrer enfin en 1957 dans le droit chemin et acceptèrent les auspices de la france protectrice après avoir subit des pertes considérables en hommes et leurs villages mis à sac ......"
A l’appel de Fatma N Soumer, des centaines d’hommes des Aït-Bouaddou ont répondu présent et ont péri à la grande bataille d’Icherridhen.
Plutard, Un Chef guerrier très recherché par la France, n’a pu trouvé refuge sécurisé que sur le territoire des At-Buwaddu qui échappait encore au controle des colons. Il s’agit de Boubaghla qui a pu reconstituer son armée depuis un camp installé sur le territoire de cette tribu tout autant rebelle.Ce camp existe encore de nos jours et portes encore le nom du chef gerrier.
Au soulèvement de Chikh Aheddad et de El Mokrani en 1871, la kabylie a subit un massacre des plus cruel qui a continuer longtemps après l’insurection suscitée en représaille pour l’irreductibilité des kabyles.
C’est ainsi qu’un génocide a eu lieu où périrent des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants. Des milliers d’autres ont été déportés vers le Moyen Orient (Syrie, Liban,..) et d’autres vers la Nouvelle Kalédonie. La kabylie fut vidée de ses hommes. El Mokrani ayant comparu devant la jutice en compagnie de ses proches collaborateurs, furent condamnés à la déportation. Parmi eux, figurent Kouaou K. et TALEB originaires d’Aït-Bouaddou qui furent déportés en N.Kalédonie.. Durant les combats, Aït-Bouaddou avait perdu un nombres importants d’hommes. Ironie du sort où signe avant coureur, les ancêtres de Ahmed Umerri avait perdu pas moins de sept (07) hommes.Depuis ce jour là, tradition orale aidant, il nous est parvenu un temoignage sous forme de dicton : " WI’ BGHAN AD YISSIN XELLU, IMUQQEL AFRAG N AT-HEMMU" (celui qui désire connaitre ce qu’est l’extermination, qu’il regarde ce qu’il en reste des At-Hemmou qui est le nom de la famille de Umerri).
Durant la gerre de libération (54-62), à l’image de toute la kabylie, Aït-Bouaddou avait donné ses meilleurs fils pour la patrie et les longues listes des martyrs marquées sur les nombreux monuments et stèles qui s’y trouvent en témoignent. Aussi, il serait utile de rappeler ceci : Durant les premières années de la révolution, le responsable du secteur allant de Draa-el-Mizan jusqu’à Aït-Ouacif était sous le commandement d’un certain vieillard de 53 ans qui avait pris les armes en compagnies de ses amis. Cet héros qui a son histoire d’une bravour saisissante est LHADJ MOHD BWAKLI (TEKLI HadjMohd) du village Aït-Amar (Aït-Bouaddou). Il mourrut à Kouriet (Agouni Gueghrane, les armes à la mains après avoir tué plus de 70 soldats !
Quand à Ahmed Umerri, voici en substence, le résumé de sa vie, de ce qu’il a été :
Né dans une famille très pauvre au début du siècle écoulé, il subit dès l’aube de sa vie l’hostilité du milieu naturel, social... Il quitta très tôt l’école pour venir en aide à son père paysan de son état. Il fut très agile et faisait preuve d’une force et d’une volonté sans faille dans toutes les tâches que son père lui assignait. Il grandissait en pleine nature , en paysan, en montgnard avec l’innocence, la bravour, la justesse et la naïveté propre à la paysanerie kabyle. Rien de le prédestinait la vie de rebelle qu’il ménera plutard. Tout bascula à sa mobolisation en 1939 au début de la 2ème guerre Mondiale. Il ne comprenait pas pourquoi on l’emmène combattre dans une guerre qui se déroulait à l’autre bout du monde. Il se sentait non concerné par ce conflit. Pourtant il se retrouva à la frontière Belge, plus précisémment à SEDAN. Au front, lors des déplacement des contingents de l’armée françaises et en traversant une rivière ou un cours d’eau, les officiers franaçais ; craignant l’empoisonnement de l’eau courante, ménageaient les cheveaux et ordonnaient aux algériens de boire pour vérifier la potabilité de cette eau car éstimaient-ils, les cheveaux avaient plus de valeur à leur yeux que les algériens. En réalité, c’est là que BELAD Ahmed qui deviendra plutard Umerri commençait à se poser des questions. Le processus de la prise de conscience fut enclenché. Il décida de ne plus prendre part à cette guerre. Il déserta en 1942. Ralia Marseille et sans se faire prendre réussi à regagner Alger. Il fut arrêté et emprisonné à la prison de Belfort (aujourd’hui El Harrach). Dans son cachot, il décida d’organiser un soulèvement, un mutinerie. Il était en compagnie de quelques militants du PPA avec qui il se concertait. Avant de passer à l’action, il avait avisait le chef du parti Messali Lhadj à qui il a demandé au nom de tous les prisonniers d’opinions et des deserteurs un soutien politique à la mutinerie. Ce qui leur a été confirmé et promis par le chef emblématique.
La mutinurie eu lieu en 1942. Elle fut un échec total car le secrèt ayant parvenu à l’administration pénitentiaire, celle-ci étouffa la révolte avant même qu’elle se déclenche. Messali renia et condamna même la mutinerie. Ahmed Umerri fut déçu au plus profond de lui-même de ce volte-face d’un chef charismatique que fut pour lui et pour tous les algériens Messali. Déçu, blessé mais réussi incroyablement à s’échapper de la prison. Ce fut le début de rebellion.
IL constitua un groupe qui s’élargissait au fil du temps. Il fut le chef incontestable. Ses proches collaborateurs étaient : Hadjali du village Ighil Imoula, Amar Khodja de Aït-Abdelmoumène, Ouacel de Iâazounène Iaoudarène de Aït-Mendès.
Il commencèrent par attaquer les colons, les soldats ... puis c’était au tour de tous ceux qui travaillent pour le compte de l’administration coloniale et qui profitaient du pouvoir que leur conférait leur statut d’agent de la france pour exercer leur injustice sur la population déjà éprouvée par la misère, la famine, le typhus et ce en leur imposant toute sorte de cotisation et en leur enlevant leur terre et leur bien (Bachagha,garde Champêtre "chambitt",etc). Ces derniers, avaient droit aux avertissements qui les sommaient de ne plus sévir contre les paysans. Ceux qui ont récédivé ont été éxecutés. c’est ainsi qu’Oumerri et son groupe devinrent les justiciers de petites gens. Ils attaquaient les riches car considérant leur richesse acquise au détriment du peuple et par complaisance de la france. Il les délestaient de tous leur biens qu’ils offrent aux pauvres, aux vieilles femmes sans ressources...etc Il avait l’habitude d’intercepter le seul "car" qui transportait les gens au marché hebdomadaire des Aït-Ouacif. Ceux qui s’y rendent à bord de ce car sont généralement de riches commis de l’administration coloniale. Il l’a arrêté même seul. El montait à "bord", ordonna à plus de 50 hommes de se mettre à genoux, de lui remettre l’argent qu’ils avaient sur eux en épargnant toujours les quelques paysans pauvres qui s’y trouves et auxquels il prend le soin de remettre un peu de cet argent à l’insu des riches. Avant de redescendre et de les laisser continuer leur route vers le marché, il ordonnait à tous les passagers de vrier trois fois " VIVE L’INDEPENDANCE, VIVE L’INDEPENDANCE, VIVE L’INDEPENDANCE "
La france qui commençait à être sérieusement malmenée par ce rebelle ne ménageait aucun effort pour l’abbattre et mettre fin à son activisme. Au côté militaire dont lequel elle avait mit tous les moyens nécessaires pour mettre la main sur Umerri et son groupe qu’elle pourchassait sans répit, elle fît usage de l’intox et de la rumeur qu’elle savait très efficace dans une société à tradition orale comme le milieu kabyle. On destilla alors toute sorte d’infamies et d’accusations abjectes et portant atteinte à sa réputation mais surtout à son honneur, cette chose sacrée chez les kabyles. Ces rumeurs furent, bien entendu, reprises par ses ennemis collaborateurs de la france coloniale et amplifiées. Il fut le "hors-la-loi" puis le "bandit d’honneur"... La légende résistait car aux rumeurs et aux agressions multiples, elle répondait par des actes de bravour, de générosité et de justice.
Umerri était devenu tellement célébre qu’il génait beaucoup de monde. En 1946, des émissaires de Krim Belkacem, un autre bandit d’honneur d’alors,l’approchèrent et lui proposèrent de la part de Krim d’adhérer au PPA qui revendiquait l’indépendance de l’Algérie. Il refusa en premier lieu car n’ayant toujours pas digérer la trahison de Messali lui-même lors de la mutinerie de Belfort.
Krim reviendra plutard à la charge et insista et fini pat convaincre Umerri. C’est ainsi que celui-ci et ses compagnon décidèrent d’intégrer l’O.S (Organisation Secrète — organisation paramilitaire) dont la création était prévu pour le 17/02/1947.
Umerri fut assassiné le... 17/02/1947.
HALIM de Kabylie.
cours magistral à qui veut apprendre !
Bravo Monsieur halim ! on a besoin de gens comme vous. Chose que je n’arrive pas à comprendre, c’est que des gens aussi capables, aussi intelligents existent mais ne sont pas connu ...
cordialement
Que répondre devant ta haine viscérale envers ce hameau (Aït-Bouaddou) qui a tout donné pour la patrie depuis toujours ? Je ne sais pas ce qui sucite en toi cette haine et ce qui en est à l’origine des gens connus dans toute la région pour leur bravoure et leur patriotisme qui frole quelquefois le chauvinisme et ce depuis la nuit des temps, mais il est clair que tu es loin de réagir par un simple souci de réécriture de l’histoire "...sur des bases saines..." comme tu l’as écris. Sinon, comment éxpliquer ton ignorance flagrante d’une réalité connu de tout le monde ? Encore, s’il ne s’agit pas d’une volonté de souiller la réputation des At-Buwaddu, chose qui est hors de ta portée !
Cela dit, par l’humilité et la rigueur scientifique qu’éxige ce débat, je tiens à apporter à ta connaissance et à celle des lecteurs de ce forum certaines vérités historiques VERIFIABLES au demeurant et dont les supports didactiques (documents, livres et autres...) existent à mon niveau et que je met volontiers à la disposition de toute personne intéressée.
La France a entamé la conquête de l’Algérie en 1830. Au fur et mesure de la conquête de terres nouvelles, des révoltes sporadiques et plus ou moins structurées se dressèrent devant envahisseurs. L’Algérie était déjà sous domination Ottomane (Turque). Celle-ci ayant tenté de faire ralier le peuple a sa cause, céda rapidement et s’effaça presque, emportant des richesses consodérables dans leur évacuation des lieu au profit des nouveaux arrivants (français).
Le peuple tenta de résister ici et là. La supériorité des nouveaux colonisateurs en armes et en cruauté, les algériens étant déjà très éprouvés et très affaiblis par le rêgne ottomane, a eu raison de toutes ces poches de résistences auxquelles se heurtait leur progression. C’est ainsi qu’en 1850, toute l’Algérie y compris la kabylie qui a été le dernier territoire à avoir été conquis tant la résistence y a était farouche, fut soumise dans sa totalité à la nouvelle puissance coloniale...sauf, éxception faite à une confédération (La kabylie était organisée en confédérations qui, chacune d’elle regroupait en son sein un ensemble de aârches unit par un pacte d’amitié et de bon voisinage). Dans le Revue Africaine qui paraissait à l’époque (au moment des faits) Le générale Robin qui menait l’éxpédition de la conquête du "pays kabyle" écrivit à peu près ceci : " ...toute le pays kabyle a finit par accepter la protection de la France en 1850. Les Aït-Bouaddou nous ont opposé une résistence d’une rare violence et continuèrent à être hors -la-loi durant sept ans pour rentrer enfin en 1957 dans le droit chemin et acceptèrent les auspices de la france protectrice après avoir subit des pertes considérables en hommes et leurs villages mis à sac ......"
A l’appel de Fatma N Soumer, des centaines d’hommes des Aït-Bouaddou ont répondu présent et ont péri à la grande bataille d’Icherridhen.
Plutard, Un Chef guerrier très recherché par la France, n’a pu trouvé refuge sécurisé que sur le territoire des At-Buwaddu qui échappait encore au controle des colons. Il s’agit de Boubaghla qui a pu reconstituer son armée depuis un camp installé sur le territoire de cette tribu tout autant rebelle.Ce camp existe encore de nos jours et portes encore le nom du chef gerrier.
Au soulèvement de Chikh Aheddad et de El Mokrani en 1871, la kabylie a subit un massacre des plus cruel qui a continuer longtemps après l’insurection suscitée en représaille pour l’irreductibilité des kabyles.
C’est ainsi qu’un génocide a eu lieu où périrent des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants. Des milliers d’autres ont été déportés vers le Moyen Orient (Syrie, Liban,..) et d’autres vers la Nouvelle Kalédonie. La kabylie fut vidée de ses hommes. El Mokrani ayant comparu devant la jutice en compagnie de ses proches collaborateurs, furent condamnés à la déportation. Parmi eux, figurent Kouaou K. et TALEB originaires d’Aït-Bouaddou qui furent déportés en N.Kalédonie.. Durant les combats, Aït-Bouaddou avait perdu un nombres importants d’hommes. Ironie du sort où signe avant coureur, les ancêtres de Ahmed Umerri avait perdu pas moins de sept (07) hommes.Depuis ce jour là, tradition orale aidant, il nous est parvenu un temoignage sous forme de dicton : " WI’ BGHAN AD YISSIN XELLU, IMUQQEL AFRAG N AT-HEMMU" (celui qui désire connaitre ce qu’est l’extermination, qu’il regarde ce qu’il en reste des At-Hemmou qui est le nom de la famille de Umerri).
Durant la gerre de libération (54-62), à l’image de toute la kabylie, Aït-Bouaddou avait donné ses meilleurs fils pour la patrie et les longues listes des martyrs marquées sur les nombreux monuments et stèles qui s’y trouvent en témoignent. Aussi, il serait utile de rappeler ceci : Durant les premières années de la révolution, le responsable du secteur allant de Draa-el-Mizan jusqu’à Aït-Ouacif était sous le commandement d’un certain vieillard de 53 ans qui avait pris les armes en compagnies de ses amis. Cet héros qui a son histoire d’une bravour saisissante est LHADJ MOHD BWAKLI (TEKLI HadjMohd) du village Aït-Amar (Aït-Bouaddou). Il mourrut à Kouriet (Agouni Gueghrane, les armes à la mains après avoir tué plus de 70 soldats !
Quand à Ahmed Umerri, voici en substence, le résumé de sa vie, de ce qu’il a été :
Né dans une famille très pauvre au début du siècle écoulé, il subit dès l’aube de sa vie l’hostilité du milieu naturel, social... Il quitta très tôt l’école pour venir en aide à son père paysan de son état. Il fut très agile et faisait preuve d’une force et d’une volonté sans faille dans toutes les tâches que son père lui assignait. Il grandissait en pleine nature , en paysan, en montgnard avec l’innocence, la bravour, la justesse et la naïveté propre à la paysanerie kabyle. Rien de le prédestinait la vie de rebelle qu’il ménera plutard. Tout bascula à sa mobolisation en 1939 au début de la 2ème guerre Mondiale. Il ne comprenait pas pourquoi on l’emmène combattre dans une guerre qui se déroulait à l’autre bout du monde. Il se sentait non concerné par ce conflit. Pourtant il se retrouva à la frontière Belge, plus précisémment à SEDAN. Au front, lors des déplacement des contingents de l’armée françaises et en traversant une rivière ou un cours d’eau, les officiers franaçais ; craignant l’empoisonnement de l’eau courante, ménageaient les cheveaux et ordonnaient aux algériens de boire pour vérifier la potabilité de cette eau car éstimaient-ils, les cheveaux avaient plus de valeur à leur yeux que les algériens. En réalité, c’est là que BELAD Ahmed qui deviendra plutard Umerri commençait à se poser des questions. Le processus de la prise de conscience fut enclenché. Il décida de ne plus prendre part à cette guerre. Il déserta en 1942. Ralia Marseille et sans se faire prendre réussi à regagner Alger. Il fut arrêté et emprisonné à la prison de Belfort (aujourd’hui El Harrach). Dans son cachot, il décida d’organiser un soulèvement, un mutinerie. Il était en compagnie de quelques militants du PPA avec qui il se concertait. Avant de passer à l’action, il avait avisait le chef du parti Messali Lhadj à qui il a demandé au nom de tous les prisonniers d’opinions et des deserteurs un soutien politique à la mutinerie. Ce qui leur a été confirmé et promis par le chef emblématique.
La mutinurie eu lieu en 1942. Elle fut un échec total car le secrèt ayant parvenu à l’administration pénitentiaire, celle-ci étouffa la révolte avant même qu’elle se déclenche. Messali renia et condamna même la mutinerie. Ahmed Umerri fut déçu au plus profond de lui-même de ce volte-face d’un chef charismatique que fut pour lui et pour tous les algériens Messali. Déçu, blessé mais réussi incroyablement à s’échapper de la prison. Ce fut le début de rebellion.
IL constitua un groupe qui s’élargissait au fil du temps. Il fut le chef incontestable. Ses proches collaborateurs étaient :
Hadjali du village Ighil Imoula,
Amar Khodja de Aït-Abdelmoumène,
Ouacel de Iâazounène
Iaoudarène de Aït-Mendès.
Il commencèrent par attaquer les colons, les soldats ... puis c’était au tour de tous ceux qui travaillent pour le compte de l’administration coloniale et qui profitaient du pouvoir que leur conférait leur statut d’agent de la france pour exercer leur injustice sur la population déjà éprouvée par la misère, la famine, le typhus et ce en leur imposant toute sorte de cotisation et en leur enlevant leur terre et leur bien (Bachagha,garde Champêtre "chambitt",etc). Ces derniers, avaient droit aux avertissements qui les sommaient de ne plus sévir contre les paysans. Ceux qui ont récédivé ont été éxecutés. c’est ainsi qu’Oumerri et son groupe devinrent les justiciers de petites gens. Ils attaquaient les riches car considérant leur richesse acquise au détriment du peuple et par complaisance de la france. Il les délestaient de tous leur biens qu’ils offrent aux pauvres, aux vieilles femmes sans ressources...etc Il avait l’habitude d’intercepter le seul "car" qui transportait les gens au marché hebdomadaire des Aït-Ouacif. Ceux qui s’y rendent à bord de ce car sont généralement de riches commis de l’administration coloniale. Il l’a arrêté même seul. El montait à "bord", ordonna à plus de 50 hommes de se mettre à genoux, de lui remettre l’argent qu’ils avaient sur eux en épargnant toujours les quelques paysans pauvres qui s’y trouves et auxquels il prend le soin de remettre un peu de cet argent à l’insu des riches. Avant de redescendre et de les laisser continuer leur route vers le marché, il ordonnait à tous les passagers de vrier trois fois " VIVE L’INDEPENDANCE, VIVE L’INDEPENDANCE, VIVE L’INDEPENDANCE "
La france qui commençait à être sérieusement malmenée par ce rebelle ne ménageait aucun effort pour l’abbattre et mettre fin à son activisme. Au côté militaire dont lequel elle avait mit tous les moyens nécessaires pour mettre la main sur Umerri et son groupe qu’elle pourchassait sans répit, elle fît usage de l’intox et de la rumeur qu’elle savait très efficace dans une société à tradition orale comme le milieu kabyle. On destilla alors toute sorte d’infamies et d’accusations abjectes et portant atteinte à sa réputation mais surtout à son honneur, cette chose sacrée chez les kabyles. Ces rumeurs furent, bien entendu, reprises par ses ennemis collaborateurs de la france coloniale et amplifiées. Il fut le "hors-la-loi" puis le "bandit d’honneur"... La légende résistait car aux rumeurs et aux agressions multiples, elle répondait par des actes de bravour, de générosité et de justice.
Umerri était devenu tellement célébre qu’il génait beaucoup de monde. En 1946, des émissaires de Krim Belkacem, un autre bandit d’honneur d’alors,l’approchèrent et lui proposèrent de la part de Krim d’adhérer au PPA qui revendiquait l’indépendance de l’Algérie. Il refusa en premier lieu car n’ayant toujours pas digérer la trahison de Messali lui-même lors de la mutinerie de Belfort.
Krim reviendra plutard à la charge et insista et fini pat convaincre Umerri. C’est ainsi que celui-ci et ses compagnon décidèrent d’intégrer l’O.S (Organisation Secrète — organisation paramilitaire) dont la création était prévu pour le 17/02/1947.
Umerri fut assassiné le... 17/02/1947.
HALIM de Kabylie.
Il est grand temps de songer à une oeuvre cinématographique qui relatera la vie et le combat de cet héros hors du commun, de ce Robin des bois du djurdjura ! Je pense que vous êtes bien placé pour le réalier ou du moins en être le scénariste !
fraternellement
IL S’AGIT CERTES D’UNE CHRONIQUE QUI PARLE D’UN GRAND MONSIEUR QU’EST ISSAD REBRAB, GRAND INDUSTRIEL KABYLE QUI A INVESTIT BEAUCOUP DE SON CAPITAL EN KABYLE ; CE QUI A GENERE UN NOMBRE INESTIMABLE DE POSTES DE TRAVAIL POUR NOS JEUNES DESOEUVRES, SEULEMENT IL FALLAIT APPORTER DES REPONSES A CES DENIGREMENTS STUPIDES QUI ONT CIBLES NON SEULEMENT UN REPERE QUE REPRESENTE OUMERRI MAIS AUSSI TOUT UN ENSEMBLE DE VILLAGES QUI FORMENT UN RESPECTABLE AARCH QUE SONT LES AT BUWADDU.
AUSSI, SI LES ONTERVENANTS SE SONT FOCALISES PLUS SUR LE PERSONNAGE HISTORIQUE QU’EST OUMERRI, C’EST PARCE QUE LE TITRE SUR LA PAGE D’ACCUEIL DU SITE AINSI QUE LE GROS TITRE MET EN EVIDENCE CE NOM MYTHIQUE QUI A DEFRAYE LA CHRONIQUE EN SON TEMPS.
FRATERNELLEMENT
HALIM de Kabylie
salut je suis de ait bouaddou ait oulhadj et je suis bouaddou rabahje vous dir ! H’med oumeri n’est rien d’autre qu’un brigand des grands chemins, c’est un deserteur de l’armée française, parcequ’il ne supportait pas la descipline et les ordres comme tous les kabyles d’ailleurs. C’est vrai qu’il a été trahi et tué par son ami Ezzounen dont le nom est :Ouacel je crois. Mais il ne faut pas faire l’amalgame, h’med n’est rien d’autre qu’un brigand et n’a jamais donné quoi que ca soit aux pauvres, au contraire il les volait, oui il volait ses freres kabyles quand ils vendaient une chevre ou un mouton, un résultat d’une année de travail, lui soit il prenait une partie ou la totalité, pour se payer de la bonne nouriture et du bon vin avec ses compagnons.Il n’etait pas seul, ils étaient toute une équipe de mercenaires sans aucun objectif precis. Sachez, monssieur que ces derniers sont approchés par Krim et ses compagnons pour les integrer à la révolution naissante dans les maquis de la kabylie, bien avant le 1er novembre,et bien cher ami, ils ont refusé ! ! ! ! en disant qu’ils n’ont rien a voir avec la politique ni la révolution. Apparement les gens des villages des ait Bouadou, les ont écoutés et sont restés fidels à la France, ou les meilleurs d’entre eux a Messali, ils sont tous des harkis pendant la révolution pour ainsi dire. Sur leur monument aux morts s’ils en ont un il n’y aura aucun nom ! ! S’ils veulent faire de mohand oumari un robin hood, il faudaraient qu’ils attendent quelques siecles pour faire avaler cette légende aux Kabyles. Je suis de sa région et ses histoires sont encore contés chez nous. Ecrivons l’histoire sur des bases saines, voyez ce qui arrive à notre pays et à tous les autres pays qui falsifient leurs histoires.
Un grand bonjour aux gens des ait Bouadou, parmi lesquels j’ai beaucoup d’amis, je leur dis sans rancune et essayer de sortir des martyres lors de la prochaine révolution ? ?
Je suis d ait djemaa,d ait bouaddou et fiére de l’ etre.Toi tu n es pas fiére des tiens.Franchement, tu n’ as pas honte de critiquer quelqu’un que tu ne connais pas et qui est mort pour toi et pour nous tous.Et tu n’ as pas honte de dire que tu es d’ ait bouaddou !!!Meme les grands chanteurs kabyles comme Ait Menguellete et Matoub Lounes et d’ autres.....ont chantees pour lui.Tu es capable de faire le parcours qu’ a fait Hmed UMERRI ?Est ce que tu parles un petit peu avec les gens ?Pour qui te raconte la vraie histoire de Hmed UMERRI...(t’a pas honte).
Kabyle qui est fiére des siens.
you de GR38 H.H :)
je te donne pas mes coordonnés comme tu l a fais. écoute ; avant de parler de l histoire il faut s y connaitre ; il faut savoir rapporter ou raconter sans perdre le sens du message. hmed umerri a été parmis les premiers à dire non à l administration coloniale !! dans notre région haut et fort ; il a laissé sa famille deriére lui pour la rue : ses idées . il partait tôt contre la france ; sa tete a été mise à prix par la france coloniale ; on a dû payer des champetres qui sont les notres ;pour le pourchasser et le poursuivre ; on a diabolisé son image en parlant de son errance de village à l autre, car la france ne voulait pas de lui ; il dérrangait beaucoups. il voulait pas de l autorité coloniale dans son village dans sa région é dans son algérie à lui. je pense que c’est ainsi que les légendes naissent !! ce n’est pas un mercenaire. il était apolitique sans aucune tendance partisane ou militante, c’est pour ses convictions qui sont justes et légales, que sa fille fathma a été brulé. seule, celle qui porte la cicatrice et l histoire de son pére. c’est un personnage qui nous doit de la mémoire et du respect.
Voir en ligne : hmad umerri ; de you GR38 h.h :)
salut poure la kabylie je suis de bouaddou.rabah de ait bouaddou de ait oulehadj
salut a la kabylie je suis bouaddou rabah de ait bouaddou ait oulhadj je vous dis ! H’med oumeri n’est rien d’autre qu’un brigand des grands chemins, c’est un deserteur de l’armée française, parcequ’il ne supportait pas la descipline et les ordres comme tous les kabyles d’ailleurs. C’est vrai qu’il a été trahi et tué par son ami Ezzounen dont le nom est :Ouacel je crois. Mais il ne faut pas faire l’amalgame, h’med n’est rien d’autre qu’un brigand et n’a jamais donné quoi que ca soit aux pauvres, au contraire il les volait, oui il volait ses freres kabyles quand ils vendaient une chevre ou un mouton, un résultat d’une année de travail, lui soit il prenait une partie ou la totalité, pour se payer de la bonne nouriture et du bon vin avec ses compagnons.Il n’etait pas seul, ils étaient toute une équipe de mercenaires sans aucun objectif precis. Sachez, monssieur que ces derniers sont approchés par Krim et ses compagnons pour les integrer à la révolution naissante dans les maquis de la kabylie, bien avant le 1er novembre,et bien cher ami, ils ont refusé ! ! ! ! en disant qu’ils n’ont rien a voir avec la politique ni la révolution. Apparement les gens des villages des ait Bouadou, les ont écoutés et sont restés fidels à la France, ou les meilleurs d’entre eux a Messali, ils sont tous des harkis pendant la révolution pour ainsi dire. Sur leur monument aux morts s’ils en ont un il n’y aura aucun nom ! ! S’ils veulent faire de mohand oumari un robin hood, il faudaraient qu’ils attendent quelques siecles pour faire avaler cette légende aux Kabyles. Je suis de sa région et ses histoires sont encore contés chez nous. Ecrivons l’histoire sur des bases saines, voyez ce qui arrive à notre pays et à tous les autres pays qui falsifient leurs histoires.
Un grand bonjour aux gens des ait Bouaddou, et mon village ait oulehadj , je leur dis sans rancune et essayer de sortir des martyres lors de la prochaine révolution ? ?
L’auteur est allée à la recherche de l’origine géographique des premiers Berbères de l’Afrique du Nord, s’attachant à reconstituer le peuplement du Sahara, notamment celui du Tassili des Ajjer, depuis l’aube de l’histoire jusqu’à la veille de l’islam.
Confrontant l’ensemble des sources disponibles - documents archéologiques (art rupestre et monuments funéraires), chroniques pharaoniques, textes des auteurs gréco-latins.. - , Malika Hachid établit l’ancienneté et l’antochtonéité africaine du peuplement et de la civilisation protoberbère (préhistoire), puis paléoberbère (Antiquité) de cette vaste région qui s’étend entre le Tassili et la vallée du Nil.
Outre leur anthropologie physique, leurs sociétés et leur organisation politique, leurs traditions culturelles et leurs religions, la relation des Berbères - les « Libyens » des auteurs antiques - avec l’Égypte ancienne est examinée ici pour la première fois.
Des traits essentiels sont mis en évidence ainsi qu’une mise en perspective nouvelle de l’histoire des Berbères de l’Antiquité par une réhabilitation de leurs apports civilisationnels à la Méditerranée et au Sahara.
D’une lecture laire et accessible à un large public motivé, l’argumentation est appuyée par une riche et très abondante iconographie - photographies, tableaux, cartes, croquis et dessins - largement commentée, qui permet au lecteur de visualiser un monde saharien animé, où les ancêtres guerriers des Touareg, les premières oasis et les premiers palmiers annoncent le désert actuel. Un ouvrage passionnant qui bouscule beaucoup d’idées reçues.
Voir en ligne : umerri,nek d’lhamid uvehri